Peut-être...
Peut-être me verras-tu un jour
Marcher sur des mots trop lourds
Risquer de lancer un défi aux murmures
Il ne faudra rien dire, le moment sera si court
Peut-être me verras-tu étouffer dans ce monde clos
Monde qui porte aux fenêtres des barreaux
le regard empalé sur la grille du miroir
Que j'aimerais traverser ce soir
Ignorer enfin le balancement de l'horloge
Ces préoccupations de l'heure
Et sur les lèvres, comme une rumeur...
Un être est là, seul son visage de blancheur parée
Surgit de la nuit, une main levée
Sentant des choses sans substance ici-bas
Et pourtant, qui marque au fer blanc, ses doigts
Un être est là, qui ne veut se perdre et se détruire
Ne fuit rien ni personne
Cherchant un regard, un sourire
Et en ses veines, le parfum de vivre
La vie..cet être la porte et l'aime tant
Qui aurait l'audace de la souffler en passant
Telle une flamme qui doit s'éteindre
Alors oui tu verras comme un reflet
Qui te semblera familier
Très vite, de peur, tu voudras l'ignorer
Je serai enfin de l'Autre Côté
Marcher sur des mots trop lourds
Risquer de lancer un défi aux murmures
Il ne faudra rien dire, le moment sera si court
Peut-être me verras-tu étouffer dans ce monde clos
Monde qui porte aux fenêtres des barreaux
le regard empalé sur la grille du miroir
Que j'aimerais traverser ce soir
Ignorer enfin le balancement de l'horloge
Ces préoccupations de l'heure
Et sur les lèvres, comme une rumeur...
Un être est là, seul son visage de blancheur parée
Surgit de la nuit, une main levée
Sentant des choses sans substance ici-bas
Et pourtant, qui marque au fer blanc, ses doigts
Un être est là, qui ne veut se perdre et se détruire
Ne fuit rien ni personne
Cherchant un regard, un sourire
Et en ses veines, le parfum de vivre
La vie..cet être la porte et l'aime tant
Qui aurait l'audace de la souffler en passant
Telle une flamme qui doit s'éteindre
Alors oui tu verras comme un reflet
Qui te semblera familier
Très vite, de peur, tu voudras l'ignorer
Je serai enfin de l'Autre Côté